Se résigner à souffrir, voilà une thématique qui me tient particulièrement à cœur. Pourquoi ? Parce que la douleur avec laquelle j’ai cohabité pendant de nombreuses années, semble parfois me laisser du répit.
Mais je vous avoue que je reste toujours surprise lorsque mes clientes intègrent la douleur dans leur quotidien comme si cela était normal. C’est comme si elles/ils avaient décider (consciemment ou inconsciemment) de se résigner à souffrir. Ou encore de quelle manière elles/ils peuvent s’interdire certaines choses (activités ou autre) à cause de la douleur.
Ici je vais vous partager mon expérience car c’est celle que je connais la mieux. Je pars donc d’une réalité la mienne !
Lorsque j’ai commencé à côtoyer mon amie la douleur, mon premier réflexe a été de prendre des anti douleur, style paracétamol ou autre. Puis lorsqu’elle est devenue plus présente alors je suis passée par la prise d’anti-inflammatoire, et crescendo par des antalgiques de plus en plus puissants. Puissant contre la douleur, sans pour autant la faire taire, mais également puissant sur le reste de mon métabolisme.
Cependant en adoptant cette méthode, j’ai pris conscience que je m’attaquais aux conséquences et en aucun cas à leurs causes de mes douleurs. Par conséquent, après avoir essayé la voie traditionnelle de la médecine, je me suis alors tournée vers d’autres solutions.
Mon souhait à ce moment-là consistait à chercher les causes de mes différents maux (principalement arthrose et migraine). Et telle une chercheuse scientifique j’ai utilisé la méthode empirique. Autrement dit, j’ai fait des essais. J’ai donc expérimenté le sans gluten, l’alimentation anti-inflammatoire ou à index glycémique bas. Bref j’ai testé, validé, renoncé ou encore composé. Par composer, j’entends prendre ce qui me convenait d’un côté, puis de l’autre et faire ma propre sauce.
Ma quête ne s’est pas limitée à l’alimentation. Je suis allée aussi expérimenter différentes activités physiques : natation, vélo, musculation (dos, abdos), aviron, marche… Jusqu’à ce que je pratique le yoga. Et là c’était comme une évidence. J’avais enfin trouvé l’activité qui correspondait à mes besoins.
J’ai trouvé dans le yoga la solution à mes problèmes articulaires, à mes migraines, à mon stress. Bref ma réponse idéale ! Mais ne pensez pas que depuis que j’ai commencé le yoga, je pratique toujours le même style de yoga. Non ! Plus je pratique, plus je connais mon corps, ses besoins et plus je suis en mesure d’adapter mon yoga à mes particularités. Même en tant que professeure de yoga et surtout en tant que professeure de yoga j’ai envie de dire. Je respecte mon corps et j’évite d’aller au-delà de mes limites physiques. seulement au-delà de mes limites psychologiques.
Alors pour revenir à mes clientes je regrette que certaines n’osent pas me dire que telle ou telle posture ne leur convient pas. Et du coup préfèrent cesser leur pratique pour éviter de se différencier du groupe avec la sacro sainte excuse de la douleur.
Je suis triste lorsque d’autres se présente uniquement par rapport à leur pathologie. Elles/ils s’effacent complètement derrière leur douleur.
Alors que rien n’est immuable ! Tout peut changer !
Si la douleur limite votre corps, elle limite aussi votre esprit. Ce qui restreint grandement le champ des possibles. Je l’ai vécu. Et paradoxalement, plus je l’accepte, moins je focalise dessus, plus elle se fait discrète. Ce qui auparavant ressemblait à des cris devient aujourd’hui de doux murmures voire parfois le silence. Je peux vous dire que ça fait du bien !
Les mots que je viens de vous partager résonnent en vous ? Vous y trouvez des points communs avec votre histoire, votre parcours ? Vous souhaitez éviter que la douleur envahisse votre quotidien ! Donnez-vous la possibilité de vous libérer !
Je propose des accompagnements en ce sens. Et à partir d’une écoute attentive je vous propose une réponse sur mesure à la problématique qui vous préoccupe !
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